Saturnalia : guide et conseils

Sorti sur l’ensemble des consoles récentes, Saturnalia dispose de principes de gameplay particuliers. Le village dans lequel évoluent les personnages s’avère particulièrement labyrinthique. En cas de game over, les ruelles de celui-ci sont par ailleurs complètement remélangées. Chacun des personnages dispose également de caractéristiques qui lui sont propres. Ci-dessous quelques conseils pour appréhender au mieux cette aventure horrifique.

Noter les lieux proches, raccourcis, et collectibles

La prise de notes vous permettra d’éviter d’oublier les liens pouvant exister entre différentes zones de Saturnalia. Plusieurs d’entre elles sont en effet liées. Plus vous avancerez dans le jeu en débloquant les raccourcis, plus vous vous en rendrez compte. A noter qu’en cas de game over, la ville sera reconfigurée, mais les raccourcis entre les différentes zones ne changeront pas.

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Des ressources particulièrement précieuses

Les allumettes permettent d’éclairer votre personnage dans le noir. Dans certaines zones particulièrement obscures, il ne sera pas possible d’avancer sans lumière. Votre personnage sera en effet automatiquement renvoyé à la dernière source de lumière visitée. Il est par conséquent recommandé d’économiser au maximum vos allumettes. Le village étant toujours un minimum éclairé, il est donc préférable de ne pas les consommer lorsque vous explorez celui-ci.

En cas de capture d’un personnage, le protagoniste prenant sa suite disposera de 9 allumettes. Après un game over, les allumettes, pièces et objets (coupe-boulon, marteau brise-vitre…) pourront de nouveau être ramassés au même endroit que vous les aviez récupérés précédemment. Noter le lieu où vous avez collecté ces derniers peut donc aussi être utile. Cela vous évitera d’avoir à les rechercher une deuxième fois sans savoir où chercher. Si vous n’avez pas pris le temps de noter, voici leurs localisations :

  • Coupe-boulon : dans la quincaillerie
  • Marteau brise-vitre : dans le camion resté ouvert du coin de rue
  • Fer à souder et clé à molette : dans la mine
  • Spatule à enduire : derrière le bar ou dans la cave de la ville si vous avez la clé

Mémoriser le chemin de l’autel à un endroit sûr

Lorsque l’un de vos personnages a été capturé par le monstre, il sera possible de le libérer si vous disposez du coupe-boulon. Libérer un personnage prisonnier va cependant s’avérer de plus en plus risqué. Pour limiter les risques, l’idéal est de mémoriser l’itinéraire d’accès à une zone sûre à partir de l’autel. Les intérieurs semblent à priori sûrs. Il ne m’est en tout cas jamais arrivé de me faire attraper dans un bâtiment.

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Courir pour sa vie © Santa Ragione

Après avoir libéré un personnage, il conviendra donc de courir jusqu’à cette zone sûre identifiée. Cela vous évitera de devoir libérer vos personnages en boucle…

Exploiter les fonctionnalités des personnages

Comprendre les fonctionnalités de chaque protagoniste constitue un élément-clé du jeu. Passer d’un personnage à un autre vous aidera à débloquer certains raccourcis, à gagner du temps, ou encore résoudre des énigmes. La capacité de Claudia, capable de passer entre certains barreaux, s’avère particulièrement utile.

N’hésitez pas également à abuser des téléphones situés dans divers lieux importants du jeu. Ceux-ci permettent de passer d’un personnage à l’autre, ou encore de demander à un protagoniste de rejoindre celui que vous contrôlez.

Échapper à la créature

La créature se fait entendre par un cliquetis facilement identifiable. On entend également une musique anxiogène à son approche. Lorsque celle-ci disparaîtra, cela signifiera que le monstre aura disparu… temporairement. Pour éviter d’être remarqué par la créature, il est possible de fermer les yeux. J’ai ainsi échappé à celle-ci en restant dans un coin les yeux fermés, en attendant que la musique se calme. Si celle-ci vous pourchasse déjà, essayez d’identifier sa localisation. Il vous faudra ensuite tout simplement courir pour vous en éloigner le plus possible.

A noter que si la créature vous pourchasse alors que vous restez trop longtemps dans le noir, elle vous attrapera automatiquement… Raison de plus pour ne pas gaspiller vos allumettes.

Martin Karpinski

Trop trouillard pour jouer aux survival-horrors jusqu'à mes 18 ans. En 2008, Dead Space fut ma première porte d'entrée vers cet univers. J'ai depuis rattrapé mon retard, tant au niveau des classiques (Resident Evil, Silent Hill...) que des jeux indépendants. Si il me reste encore des lacunes, j'ai cependant créé ce site pour partager ma passion du survival-horror et certaines de mes réflexions. J'écris également pour le webzine Journal du Japon.

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